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Retrouver confiance après un échec à l’examen du Code de la route

Dernière mise à jour : 10 févr. 2022

Source : Autoplanet


L’examen du Code de la route est réputé pour être difficile. Toutes les personnes qui veulent profiter de leur permis de conduire doivent pourtant en passer par là. Il faut savoir que posséder son permis est désormais un des critères inhérents à l’insertion professionnelle. Pas étonnant donc que le nombre de candidats ne diminue pas bien que tous passent souvent par plusieurs essais avant de décrocher ce sésame.

Si vous aussi vous êtes dans cette situation, et si vous en êtes à votre énième session à l’examen du Code la route, voici quelques clefs pour rester confiant concernant votre réussite.





Dédramatisez votre échec à l’examen du Code

La première chose à faire lorsque vous vous retrouvez face à un échec est de dédramatiser. Certes, l’exercice peut être difficile surtout si vous avez travaillé dur, mais sachez que vous n’êtes pas le seul dans cette situation. Saviez vous, par exemple, que le taux de réussite à l’examen du Code est passé de 70% à 16,7% seulement après la réforme de 2016 ? Un taux tellement bas qu’à titre exceptionnel, la Sécurité routière a organisé une session de rattrapage cette année !

Aujourd’hui, le taux de réussite global est de 57%, ce qui est mieux mais prouve tout de même que le Code est un examen difficile où l’échec n’est pas une fatalité. Plus d’un tiers des candidats échouent à leur examen du Code et doivent le repasser pour le décrocher. Si vous en êtes à remettre en question votre QI, gardez ce chiffre en tête et cela vous permettra de mieux rationaliser votre échec.

Une fois bien détendu, il ne vous reste plus qu’à étudier les autres options qui s’offrent à vous. Dédramatiser, c’est bien, mais il s’agit aussi de le réussir cet examen !

Donc, dès que vous vous sentirez prêt, n’hésitez pas à engager les démarches nécessaires pour le repasser dès que vous en avez l’opportunité. La réussite au Code nécessite d’être rigoureux et motivé dans son apprentissage, de ne pas hésiter à demander de l’aide, et à mettre toutes les chances de son côté en récupérant les informations nécessaires sur tous les supports disponibles tels que les plateformes en ligne ou les livres de formation. et surtout auprès de vos instructeurs.


À savoir : la législation ne prévoit aucun délai entre 2 présentations, ce qui est fort pratique pour ceux qui ne veulent pas faire durer l’attente entre 2 examens. Après tout, ne dit-on pas qu’il faut battre le fer tant qu’il est encore chaud ?


Identifiez vos faiblesses concernant le Code

Maintenant que vous êtes prêt à aborder la question de manière sereine, vous devez identifier avec précision vos faiblesses. Vous devez essayer de déterminer sur quelles thématiques vous avez le plus de difficultés, ce qui ne devrait pas poser de problèmes vu que les fautes que vous aurez commises vous sont communiquées.

Après plusieurs échecs, il en ressortira forcément que vous ne maîtrisez pas une ou des thématiques du Code de la route.

Vous devrez ensuite travailler un peu plus sur ces points pour veiller à ne pas reproduire les mêmes erreurs à la prochaine session.

Il peut également vous être utile de savoir que certaines questions présentent plus de difficultés que d’autres pendant l’examen. Elles concernent notamment les nouvelles technologies d’aides à la conduite (GPS, ABS, régulateur de vitesse…), la législation en ce qui concerne la conduite en état d’ébriété, les documents administratifs nécessaires à l’utilisation du véhicule, la mécanique et les équipements de sécurité, etc.

Quoi qu’il en soit, vous pouvez vous entraîner en vous aidant des quiz prévus par la Sécurité routière.


Apprenez à gérer le stress lors de l’examen

Il n’est pas rare que la seule et unique cause de l’échec à l’examen du Code de la route soit le stress. Vu le taux de réussite et la réputation de cet examen en matière de difficulté, il est parfaitement normal qu’il soit particulièrement anxiogène. Sauf que contrairement aux autres candidats, vous avez déjà vécu cette situation, et à plusieurs reprises même. Vous devriez donc être moins concerné par ce stress maintenant que la situation est familière.

Si ce n’est pas le cas, vous devez apprendre à mieux le gérer en restant focalisé sur ce que vous avez appris et en vous tenant prêt à affronter les mêmes thématiques sur lesquelles vous avez échoué pendant la dernière session.

Pour mieux gérer le stress, vous pouvez aussi veiller à décompresser un peu la veille de l’examen. Une promenade dans la nature, se détendre devant un bon film, faire un peu de sport (sans trop se fatiguer)… sont autant de techniques efficaces qui permettent d’évacuer le stress avant le jour J.



Faites vous confiance !

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