
Le 27 mai 1921 paraissait le décret concernant la réglementation de l’usage des voies ouvertes à la circulation. Un texte qui prenait pour la première fois l’appellation de Code de la route. Ce code avait pour objectif d’unifier les règles de partage de la route entre les différents usagers de l’époque (attelages d’animaux, cyclistes, piétions, mais aussi ces nouveaux fous roulants avec leurs drôles de machines à moteur), sur l’ensemble du réseau routier français.
Le Certificat de capacité, ancêtre du Permis de conduire Le Code de la route de 1921 abordait notamment la question de la formation à la conduite des engins à moteur. En effet, l’article 29 stipulait : « Nul ne peut conduire un véhicule automobile s’il n’est pas porteur d’un Certificat de capacité délivré par le préfet du département de sa résidence, sur l’avis favorable du service des Mines ». Il fallait alors passer un petit examen en présence d’un examinateur des Mines qui vérifiait la capacité du candidat à démarrer le véhicule, suivre une trajectoire, freiner, etc.
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